Lou’ise getting on a plane

Quand je ne sors pas sur Paris (et quand je ne galère pas à prendre le RER, comme je l’expliquais ici), je m’en vais parfois vers d’autres horizons. Mes week-end mensuels en Normandie m’ont plutôt bien rodée pour les voyages en train. Par contre, quand je prends l’avion pour m’envoler vers des destinations plus lointaines, je suis plus précautionneuse (plus stressée quoi) pour l’organisation de mon périple. Voici mes trucs pour partir sereine.

Première chose, si je pars dans un coin en Europe, je fais une demande de carte européenne d’assurance maladie minimum trois semaines avant (elle reste valable un an ensuite). Et je prends parfois l’assurance annulation et accident qui est proposée lors de la réservation du voyage. On ne sait jamais !

Deuxième chose avant le départ, je fais des listes dans mon petit carnet. Une avec mon budget prévisionnel (même si je ne la regarde plus une fois sur place !). Une pour tout ce que je prends dans ma valise : la trousse à pharmacie à ne pas oublier, par exemple. Et une pour tout ce qui va aller dans mon sac à dos : de quoi me distraire dans l’avion donc (livre, revues, 3DS, iPod…) mais aussi une tenue complète et légère de rechange, au cas où ma valise serait perdue. Prudence est mère de sûreté !

Troisième chose, je range soigneusement dans une pochette prévue à cet effet (un reliquat d’un voyage avec Nouvelles Frontières si vous voulez tout savoir) plein de papiers, qui resteront ensuite dans ma chambre d’hôtel : les documents de voyage (billets d’avion, bons de transport et d’hébergement…), une photocopie de ma carte d’identité (en cas de perte ou de vol de la vraie), et les fascicules d’assurance de ma banque (avec tous les numéros à appeler en cas de problème). Je vous ai dit que j’étais plutôt prévoyante ?!

Me voilà prête à prendre l’avion. Je prends soin de m’habiller amplement, histoire d’être bien à l’aise dans la cabine. J’arrive toujours comme indiqué, deux heures avant l’embarquement, même si je sais que je vais faire le poireau. Il y a un côté rassurant à être sur place mille ans en avance. Mais pas d’autre choix que d’attendre, en feuilletant les magazines des Relay et en grignotant des M&Ms (à 10€ le paquet), ou en comatant dans la salle d’embarquement (s’il est trois heures du mat’, c’est cette option qui est bien évidemment la bonne !). D’ailleurs, je profite d’être dans cette salle pour prendre mes granules homéopathiques d’Ignatia Amara, 30mn avant le vol. Ça calme ma petite anxiété au moment du décollage et ça apaise un peu – je dis bien un peu – mon compagnon de voyage terrorisé par l’avion !

Une fois embarquée, au décollage et à l’atterrissage, je mâche sans relâche du chewing-gum et je mets mes protections auditives de concert pour éviter que mes oreilles ne se bouchent. Cette combinaison a pour l’instant fait ses preuves.

Dans les airs, je sors mon attirail bien-être. Ma trousse de beauté transparente contient : des bouchons en mousse (pour m’isoler au besoin des bruits ambiants), du sérum physiologique (pour mes yeux porteurs de lentilles), un stick à lèvres et des crèmes hydratantes de toutes sortes (les échantillons sont alors bien utiles). Parce que, figurez-vous que l’air pressurisé des avions a le don de me dessécher littéralement (ça vaut pour le TGV aussi !).

Et oui, toutes ces dispositions me rassurent et me permettent de me détendre une fois en l’air. Le voyage entamé, je peux enfin me consacrer à la destination qui m’attend…

6 commentaires sur “Lou’ise getting on a plane

  1. ahhhh ça m’intéresse très beaucoup ce billet :p
    t’as la version « partir 2 semaines aux USA en prennant pour la 1ère fois l’avion de sa vie »? ^^

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